Le leadership est la vocation de tous. Les chefs d’états, les professeurs, les maîtresses de maison, les aidants…tous exercent un leadership.
Pour devenir un leader vertueux, il faut se connaître soi-même, être conscient de ses forces, de ses faiblesses, se comprendre pour mieux comprendre les autres.
Ainsi le développement du leadership est un processus de développement de soi !
Celui qui avance sur ce chemin, s’interroge, se questionne, accepte de se remettre en cause, parce que sa motivation profonde est de vouloir donner le meilleur de lui, pour lui-même et pour les autres !
D’autres articles sur le « Leadership » et sur le « Processus de développement de soi«
En se développant personnellement, l’individu acquière une meilleure maturité, un sens plus aiguë des responsabilités. En même temps qu’il prend conscience de « qui il est » et de sa « grandeur » il accepte sa finitude en toute humilité.
Il gagne en assurance et cela rejailli dans tous les domaines de sa vie : personnel et professionnel.
Ses pensées, sa posture renvoient l’image d’une plus grande stabilité et cohérence intérieure.
Les entreprises sont de plus en plus conscientes de l’importance du capital intellectuel et humain. La coopération entre les acteurs au sein d’équipes pluridisciplinaires, transversales ou en mode projet est devenue centrale et primordiale.
De nouveaux comportements s’imposent, bousculant les croyances sur la notion d’autorité. La coopération n’existe par dans un rapport d’autorité qui serait qualifié de « Pouvoir sur », mais exclusivement dans un « Pouvoir pour »
C’est en aidant chacun à développer son leadership (sa zone de rayonnement et de plein potentiel) que chacun sera prêt à donner le meilleur de lui-même et à relever les défis du mieux vivre et travailler ensemble.
Voir également le lien avec une « autre forme d’intelligence au service de l’entreprise »
- Pour lui-même d’abord
-
En se développant personnellement, l’individu acquière une meilleure maturité, un sens plus aiguë des responsabilités. En même temps qu’il prend conscience de « qui il est » et de sa « grandeur » il accepte sa finitude en toute humilité.
Il gagne en assurance et cela rejailli dans tous les domaines de sa vie : personnel et professionnel.
Ses pensées, sa posture renvoient l’image d’une plus grande stabilité et cohérence intérieure. - Dans le monde de l’entreprise ensuite
-
Les entreprises sont de plus en plus conscientes de l’importance du capital intellectuel et humain. La coopération entre les acteurs au sein d’équipes pluridisciplinaires, transversales ou en mode projet est devenue centrale et primordiale.
De nouveaux comportements s’imposent, bousculant les croyances sur la notion d’autorité. La coopération n’existe par dans un rapport d’autorité qui serait qualifié de « Pouvoir sur », mais exclusivement dans un « Pouvoir pour »
C’est en aidant chacun à développer son leadership (sa zone de rayonnement et de plein potentiel) que chacun sera prêt à donner le meilleur de lui-même et à relever les défis du mieux vivre et travailler ensemble.Voir également le lien avec une « autre forme d’intelligence au service de l’entreprise »
Lorsque ce leadership s’appuie sur l’usage des vertus universelles il en devient puissant, parce que, chaque être humain, quel qu’il soit, sait reconnaître et respecter la vertu en action.
Voir également « Pourquoi parler de vertu ?«
Pourquoi s'intéresser aux vertus pour amorcer un changement significatif dans sa vie ?
Nous revendiquons tous un attachement à des valeurs : Liberté, honnêteté, simplicité, engagement, responsabilité…
Parfois nous les revendiquons sans réellement les appliquer dans notre quotidien, ou alors nous sommes capables de « partir en guerre ! » pour les faire respecter !
La vertu en tant que force est la terre qui nourrit le socle de nos valeurs.
La vertu est une force dynamique et invisible qui accroît la capacité d’agir.
Le mot « vertu » vient du mot latin « virtus » qui signifie « force et pouvoir »
La vertu consiste en un juste milieu, ce à quoi on ne peut rien ôter ni ajouter.
Elle apporte l’énergie et le carburant nécessaire à la mise en action des valeurs.
Exemple :
Je peux être rempli de courage et ne pas craindre de prendre des risques et des décisions. Cependant je manque de patience et me rends compte que parfois cette impatience m’a joué de mauvais tours.
Parce qu’en fixant notre intention et notre attention à vouloir développer une vertu, nous nous donnons une impulsion et stimulation à travailler sur nous-même. Nous nous dotons d’une ligne de conduite, d’un objectif « apparemment » clair et simple à atteindre.
Quelles sont-elles ?
Elles sont multiples, avec des formes et des aspects différents et des puissances différentes.
C’est la raison pour laquelle les philosophes, les théologiens, les intellectuels de tous ordres ont cherché à les hiérarchiser.
Celles avec lesquelles je travaille en coaching ?
J’axe mes accompagnements sur 6 vertus fondamentales
- Les 4 vertus cardinales décrites par Aristote et Thomas D’Aquin : Prudence, Justice, Tempérance et Courage.
- Auxquelles j’ai ajouté Humilité et Grandeur d’Âme, en me reliant à mon contemporain Alexandre Diainie-Havard.
« On peut et l’on doit baser ses actions sur la prudence, le courage, la maîtrise de soi et la justice. Mais l’on ne peut fonder son existence que sur la magnanimité et l’humilité, sur l’idéal de la grandeur et l’idéal du service : sur l’idéal du leadership » (Alexandre Diainie-Havard)